Ton rire monte tel la vague
Roulis incessant recouvrant
D’un ressac fort et enivrant
Les maux d’un esprit qui divague
Ton rire éclate en mille fleurs
Inconnues et exubérantes
De couleur pourpre ou amarante
Soleil des dernières chaleurs
Ton rire fait place au silence
Léger, simple et espiègle
Purgeant l’air empesté de règles
Dans le soir d’été qui s’avance
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